Top 10 (les 7 premiers étant de vrais grands coups de cœur)
10 – La Reine des neiges :
Le retour de Disney à son meilleur niveau. C’est mignon, c’est émouvant, c’est beau. Bref, c’est magique et ça fait du bien.
9 – Cloud Atlas :
Le projet sans doute le plus ambitieux de l’année, un film cosmique sur la réincarnation brouillant la frontière entre les genres en alternant le thriller, le récit historique, l’anticipation et la comédie. Manque peut-être un chouïa d’émotions et un peu d’ampleur pour emporter le tout.
8 – The Place beyond the pines :
Un drame familial presque shakespearien centré sur les relations pères-fils et la question de la culpabilité.
7 – Le Monde de Charlie :
Une réflexion réaliste et sensible sur les affres de l’adolescence et le passage à l’âge adulte, loin des clichés du type American Pie, entre beuveries et coucheries à tout-va. Logan Lerman touchant.
6 – Prisoners :
Un duo d’acteurs incroyables, Jake Gyllenhaal et Hugh Jackman, un film glauque et étouffant qui happe le spectateur pour ne jamais le lâcher. Quand la monstruosité des hommes fait toujours craindre le pire. En apnée pendant tout le film.
5 – Alabama Monroe :
Un film bouleversant parce que vrai, sans strass et paillettes, une histoire avec de vraies gens, de vraies émotions et de vrais drames. BO de malade. En mode serpillière à la fin du film.
4 – Le Congrès :
Un véritable ovni qui ne ressemble à rien de ce qu’on connait déjà. Une réflexion poignante et prophétique sur la mort annoncée du cinéma. Original et créatif.
3 – Stoker :
Un huis-clos familial à la fois glauque et ultra-sensuel, sur lequel plane un danger qui se révèle peu à peu. Glaçant.
2 – Gravity :
Une expérience de cinéma unique, physiquement éprouvante, pour une sensation d’immersion jamais ressentie auparavant (j’exagère à peine).
1 – Upside Down :
LE méga coup de cœur de l’année : une histoire d’amour sublime qui prend aux tripes, un univers visuel unique et poétique, des comédiens au top (Jim Sturgess, quoi !)… En mode grosse serpillière, bis. Mise à jour : en revoyant le film, je réalise que j’avais complètement craqué. C’est clairement Gravity le number one de l’année.
Au pied du classement : Snowpiercer, Mud, Antiviral et Les Croods.
Les plus belles scènes :
La numérisation de Robin Wright dans « Le Congrès » :
Pour capter toutes les émotions humaines, la comédienne écoute le récit de sa vie, avec ses joies et ses drames. Un condensé de toutes les réactions que le cinéma peut provoquer chez les spectateurs. Magique.
Le plan-séquence d’ouverture de « Gravity », d’une fluidité hallucinante, et la première chute de débris sur la navette :
Le rituel funéraire après la mort de Frigga dans « Thor : Le monde des ténèbres » :
La traversée du tunnel en voiture sur « Heroes » dans « Le Monde de Charlie » – la liberté à l’état brut :
La transformation de Syd dans « Antiviral » quand il ne fait plus qu’un avec sa machine :
La reprise du « Everytime » de Britney Spears par James Franco dans « Spring Breakers » :
Quand l’idole déchue de Disney participe au dévergondage des starlettes du studio, la mise en abyme est totale.
Le crash de l’avion dans « Flight » :
Les plus belles prestations :
Daniel Day-Lewis dans « Lincoln » :
La voix, l’attitude, la démarche… une performance récompensée à juste titre par l’Oscar du meilleur acteur (accessoirement, le 3° pour le comédien).
Hugh Jackman dans « Prisoners » :
Le grand écart de l’année entre le nanard « Wolverine : le combat de l’immortel » et ce rôle, sans doute l’un des plus forts de sa carrière.
Matthew Goode dans « Stoker » :
Toujours sur le fil entre la sensualité et la menace, l’ambigüité personnifiée.
Matthew McConaughey dans « Mud » :
Mads Mikkelsen dans « Michael Kohlhaas » :
Ce plan final, p*****!
Chris Evans dans « Snowpiercer » :
Un rôle de leader, charismatique et puissant, à 1 000 lieues de sa prestation de jeune fougueux dans « Les 4 fantastiques ».
Sandra Bullock dans « Gravity » :
Golshifteh Farahani dans « Syngué Sabour » :
Adèle Exarchopoulos dans « La Vie d’Adèle » :
La bande-originale de l’année :
« Obstacles » – Upside Down – Syd Matters :
Le (sublime) thème de Man of Steel – Hans Zimmer :
« Heroes » – Le monde de Charlie – David Bowie :
« The Atlas March » – Cloud Atlas – Tom Tykwer, Johnny Klimek, Reinhold Heil :
« Outro » – Cloud Atlas – M83 (Skip, je te maudis !) :
« Waking up » – Oblivion – M83 :
« If I needed you » – Alabama Monroe – Johan Heldenbergh, Veerle Baetens :
« The boy who wouldn’t hoe corn » – Alabama Monroe – Johan Heldenbergh, Veerle Baetens :
« Freedom » – Django Unchained – Anthony Hamilton, Elayna Boynton :
« Everytime » – Spring Breakers – Britney Spears :
« Libérée, délivrée » – La reine des neiges – Anaïs Delva :
Le thème de Pacific Rim – Ramin Djawadi :
Moi aussi j’ai finis en mode serpillère plusieurs fois cette année ^^
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Aaaaaah mais c’est ça qui est bon ! Pour quels films ? 🙂
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alamaba monroe, gravity, la vie d’adèle et prisoners ^^
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Trois en commun 🙂
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